Sur le fond, «Mise au Point» garde ce qui fait son identité.
Attention, peinture fraîche! Dès le 14 mars, le plateau de Mise au point change de look. Le nouvel écrin se veut plus accueillant et ouvert sur l’extérieur. En fond de plateau, une large baie vitrée composée d’images panoramiques offrira une vue aérienne à 270 degrés sur Genève et au-delà. Se profilant comme une large fenêtre ouverte sur la Suisse, le nouveau décor vient confirmer l’ADN d’une des émissions les plus suivies de la RTS: le journalisme de terrain et un regard élargi sur l’actualité. Ouvrir les murs, c’est aussi convier le public à découvrir les coulisses des reportages, et la façon dont se fabrique l’information. Ainsi plus régulièrement, les journalistes de la rédaction seront invité·es en plateau pour présenter leur travail d’enquête.
Ce relooking s’accompagne d’une refonte de la ligne graphique et du générique de l’émission, apportant un coup de neuf au magazine de la RTS qui fête ses 25 ans cette année. Le nouveau logo reprend l’icône de zone de mise au point photographique, mais remise au goût du jour: de cible ronde, l’icône est devenue carré.
Pour le reste, Mise au point garde ce qui fait son identité: un magazine qui porte un regard acéré sur l’actualité, axé sur l’enquête et le reportage, et dont les fondamentaux se résument en trois verbes: «révéler, émouvoir, inspirer», selon les mots du producteur responsable, François Roulet. La formule est gagnante comme le confirment des audiences record. Présenté en alternance par Nathalie Ducommun, Sebastien Faure et Catherine Sommer, Mise au point a rassemblé en moyenne 255 000 téléspectateurs au cours de l’année 2020 (46,8% de part de marché). L’émission a même atteint un pic historique le 22 mars 2020 avec une audience de 360’000 personnes. Côté web, les romands répondent aussi présents: plus de 150 000 abonnés plébiscitent les productions digitales de Mise au point sur les réseaux sociaux
Sébastien Faure inaugurera le nouveau plateau, dimanche 14 mars (20h10, RTS 1), suivi de Nathalie Ducommun et Catherine Sommer.