10.09.2019 - RTS

Début de tournage de la série «Cellule de crise» avec Isabelle Caillat et André Dussollier

Une série de 6 fois 48 minutes sous forme de thriller politique dans le monde de l’humanitaire.

Genève est la capitale mondiale de l’humanitaire. Des dizaines d’agences internationales et d’ONG y ont leur siège. Des décisions qui affectent la vie de centaines de milliers de personnes qui vivent dans les zones de conflit s’y prennent chaque jour. Du 9 septembre au 13 décembre, Jacob Berger, cinéaste et autrefois grand reporter, réalise sa première série qui a pour cadre les hautes sphères d’une importante ONG. Il posera son regard engagé et sans complaisance sur les fortes pressions venues de toutes parts auxquelles doivent faire face les métiers de l’humanitaire, à travers desquelles s’affrontent des intérêts très divers.

Le pitch

L’élection d’une femme présidente (Isabelle Caillat) à la tête d’une organisation humanitaire coïncide avec l’enlèvement, au Yémen, d’un jeune délégué et d’une quinzaine de collaborateurs. Dans un monde où l’image compte plus que tout, et où les faux-semblants sont légion, une idéaliste de l’humanitaire va devoir, pour ramener les otages vivants, se salir les mains, nouer des alliances contre nature et remettre en cause tout ce en quoi elle croyait jusqu’alors. Comment sauvegarder la crédibilité et la neutralité de son organisation, de plus en plus exposée ?

Isabelle Caillat, André Dussollier, Luc Schiltz, Karim Saleh, Jean-François Balmer et Felipe Castro incarneront ces personnages complexes traversés par le doute et les contradictions.

A travers l’accession d’une femme d’une quarantaine d’années à la tête d’une importante agence humanitaire, Cellule de crise en dévoile sa face cachée, le dilemme qui peut parfois se poser entre convictions et réalité du terrain. Une fiction autant sur les droits humains, l’éthique, la compassion et la générosité que sur les enjeux géopolitiques et les intérêts privés, à découvrir en 2020 sur la RTS.

Texte: RTS/RTSR